vendredi 5 janvier 2018

Génération Casse-Couilles

Génisses Stériles Meuglantes

A quoi reconnait-on une génération de pimbêches geignardes aussi immatures qu'incapables de réprimer leurs tendances castratrices comme de saisir les opportunités offertes par une société égalitaire en droit ? C'est simple !

Au lieu de faire preuve d'imagination, de créativité, d'esprit d'entreprise ou d'initiative (y compris en matière de drague ou de simple expression non-ambiguë de sentiments et désirs), une grande partie d'entre-elles continue de geindre et de chercher à nous raboter les roubignoles dans le but de réclamer toujours plus en en faisant toujours moins, le tout en se doigtant les boyaux du cerveaux avec des concepts fumeux du genre "féminicide", "faiminisme" (le grand complot protéinique masculin), et autres "écritures inclusives luttant contre la culture linguistique de l'inégalité". Comme si les langues turque ou perse, ne connaissant pas la distinction de genre, cultivaient pas essence l'égalité des sexes. Comme si le masculin pour genre neutre en français, soit la neutralisation du masculin, ce n'était déjà pas assez androgyne comme approche. L'émasculation, y compris de la langue, pour toute pulsion créative, voilà leur triste obsession. Enfin bon ! 

Sérieux, est-ce que nous osons parler 'd'androcide' lorsque des hommes meurent sous les coups ou poisons de leurs compagnes ; osons réclamer une prime de risque généralisée sous prétexte que les hommes continuent d'exercer les métiers les plus exigeants et dangereux, ceux-ci demeurant les principales victimes des accidents du travail, notamment mortels (94% des victimes) ? Est-ce qu'on parlerait de culture 'patricide' quand ces péronnelles se rendent compte qu'un "bébé tout seul" c'est pas facile à assumer, alors qu'un couillon qui servira de géniteur-défouloir-signataire-de-chèques-de-pension-alimentaire-post-divorce-récréatif c'est tellement plus commode ? Ou encore de 'santé-moralicide' lorsque nos petites bourgeoises  passent leur temps à nous casser le tête  avec leurs sempiternelles exigences de gamines insatisfaites et autres perpétuels pets de travers névrotiques servant d'excuses à leur manque de courage... 

Non ! Rien de tout ça. Nous continuons de tenter de faire la part des choses, d'accomplir nos devoirs sans trop nous plaindre, tout en nous tapant leurs jérémiades.

Boudiou ! Y-a pas à dire ! Les femmes, en très grand partie, c'est encore et toujours beaucoup trop d'emmerdes pour assez peu de plaisir !

Plus sérieusement, ce que c'est pénible d'assister à l’émergence d'une génération de femmes semblant avoir abandonné la fertilité créatrice pour une très revancharde destruction sélective, en somme, visiblement plus tournées vers la destrudo (pulsion de mort) que vers la libido (pulsion de vie).

Ce que cela peut être, tout aussi frustrant, finalement, de vivre avec une mentalité égalitaire post-guerre-des-sexes type XXIIe siècle et d'attendre l’avènement de femmes qui y correspondront. Car à l'évidence celles-ci ne sont pas encore là, la majorité des nanas, y compris les plus jeunes d'entre elles, ayant beaucoup de mal à s'extirper de la culture petite-bourgeoise-fin-XIXe.

Dans ce paysage un brin désolant, heureusement qu'il reste quelques  très vivantes "vieilles peaux" à la Elisabeth Levy et compagnie, pour hisser haut l'étendard d'une féminité aussi libre que forte, infiniment plus désirable. Mes hommages, Mesdames. 

Sil

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