samedi 28 avril 2012

Présidentielle 2012 : la gauche la poubelle du monde libre


Chez les Socialistes, on est très à cheval sur l’étiquette et la bienséance, n’hésitant pas à souligner le moindre écart de langage d’un quelconque sous-fifre, tout en trouvant normal que le candidat socialiste ne s’excuse pas lorsqu’il traite son adversaire de « sale mec »…

Chez les Socialistes, on trouve normal de pétainiser son adversaire, tout en s’adressant de manière semblable aux électeurs qui ont voté Front National, après avoir dragué le vote nationaliste en développant des thèses protectionnistes, mais aussi en s’alliant sans la moindre vergogne à des néostaliniens, négationnistes patentés des crimes du Communisme et apologistes de la Terreur…

Chez les Socialistes, d’aucuns n’hésitent pas à nourrir la campagne en lavant leurs turpitudes dans les eaux sales du complot après s’être comportés en immondes porcs libidineux…

Chez les Socialistes et leurs alliés, on ose parler de moralisation de la vie politique tout en lançant sur l’adversaire des accusations de corruption déniées de la moindre preuve, attendant ou espérant qu’un juge rouge ou vert s’y fasse les dents…

Chez les Socialistes et leurs alliés, de la même façon, on n’hésite pas à reprendre les racontars publiés par l’officine de désinformation qu’est le Médiapart(ial) de l’autre trotskiste Edwy Poubelle. Une affaire de financement occulte de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy par Mouammar Kadhafi, reposant sur un document produit par l’ancien chef des barbouzeries libyennes, et confirmé par l’ancien intermédiaire Ziad Takieddine, mis au rancart de l’histoire comme en examen, et récent soutien de François Hollande. De sacrés gages de crédibilité, n’est-ce pas ? Comme si un homme politique aussi sérieux que de premier plan s’en irait vendre son âme politique, en toute confiance, à l’ex-diable de Tripoli, sans doute le tyran le moins fiable, le plus versatile et fourbe de ces dernières décennies. Plus grotesque, tu meurs !

Comme quoi, de toute évidence, chez une certaine gauche, où la fin justifie les moyens, on veut le pouvoir à tout prix, à un prix aussi exorbitant que socialiste, qu’il reviendra, comme d’habitude, à nous autres braves Français, de régler…

Moralité : ils sont cochons ; soyons bouchers !

SILovecraft dans « les rats dans les murs (de l’Elysée)»


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